AVISOFI détaille les principales raisons des refus de prêt dans l’immobilier

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L’entreprise Avisofi, spécialisée en négociations pour les crédits immobilier, a réuni toutes les raisons d’un refus de prêt immobilier. Ainsi, il est plus aisé de savoir comment les contourner et préparer sa demande de prêt immobilier dans des conditions optimales.

Paris, le 03 octobre 2016 – Malgré des taux historiquement bas, un nombre important de dossiers de prêt est encore refusé par les banques. En moyenne, 30 % des demandes de crédit sont refusées. Quelles en sont les causes ? Avisofi détaille les principales raisons liées au refus de prêt.

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La capacité de remboursement

Dans la majorité des cas (30 % des refus), le niveau de revenus du candidat à l’emprunt n’est pas en adéquation avec son projet. C’est étonnant quand on songe à l’augmentation du pouvoir d’achat des primo-accédants, grâce au PTZ. Néanmoins, son salaire est trop bas, ou il a contracté par ailleurs un ou plusieurs crédits à la consommation. Dans tous les cas, accorder un prêt immobilier à cette personne lui ferait dépasser le niveau d’endettement maximum soit 33% de ses revenus.

Le manque d’apport personnel

Un quart des refus de prêt sont motivés par un manque d’apport personnel. Notons toutefois que ce problème est actuellement en recul. En effet, la baisse des taux et la mise en place du nouveau PTZ rendent les banques plus souples concernant ce dernier, puisqu’il est considéré comme apport. En outre, ces dernières financent de plus en plus souvent le bien à hauteur de 110 % de son prix, c’est-à-dire frais de notaires et garanties compris.

Une gestion des comptes optimale demandée

Ce critère, extrêmement important pour les établissements bancaires, est souvent ignoré des candidats au prêt immobilier. Pourtant, toutes les banques font preuve d’une grande vigilance à ce sujet. Elles surveillent la capacité à épargner du candidat. De manière générale, elles détailleront les relevés de compte des trois derniers mois, mais peuvent étendre cette durée jusqu’à 12 mois. Au final, 23 % des refus de prêt sont justifiés par une mauvaise gestion des comptes.

Une situation professionnelle stable exigée

Enfin, les personnes entrant tout juste dans le monde du travail, ou à la situation précaire, courent plus de risques à se voir refuser un crédit immobilier. L’an passé, 22 % des dossiers ont été recalés pour cette raison. Il s’agit d’une source d’inquiétude croissante pour nous, car nous sommes conscients de la précarisation grandissante de l’emploi en France. Sachez que de manière générale, l’idéal est de disposer d’un  CDI de plus de 12 mois.

Pour Loic Ruault, Président Fondateur d’Avisofi : « Il faut calculer selon votre pouvoir d’achat immobilier en amont et faire analyser ses documents par un conseiller financier afin d’optimiser les recherches immobilières en adéquation avec les souhaits de remboursement mensuel. »

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