Internet Avis d’expert EBRC / Le Data Centre, forteresse numérique, oui mais comment ?8 octobre 2018La data est un élément dont on parle de plus en souvent : au cœur de toutes les innovations, les professionnels ont appris à l’utiliser. Le sujet d’aujourd’hui ? Les Data Centres : ce sont les socles de la performance et de l’économie numérique. Peut-on considérer les Data Centres comme des réelles forteresses numériques ? Lorsque ce sont des informations qui sont manipulées tous les jours par des professionnels, la vigilance est de mise. C’est pourquoi les infrastructures d’hébergement se veulent de plus en plus sécurisées : les entreprises ne peuvent pas se permettre de révéler des informations confidentielles. Mais au fait, qu’est-ce qu’un Data Centre ? Revenons sur l’émergence des Data Centres. L’économiste et essayiste américain Rifkin mentionne la révolution numérique que nous vivons comme étant comparable à une révolution industrielle. Tandis que la révolution industrielle du 19ème siècle correspondait à un capitalisme de biens matériels, aujourd’hui nous sommes passés à un capitalisme de l’information. Il convient donc d’apporter une attention particulière à la gestion de cette nouvelle ressource économique de notre siècle : la donnée, la fameuse « data ». Les Data Centres sont nés pour héberger les équipements informatiques de stockage de la donnée et de son traitement dans des sites physiques, dont on sait l’importance de la localisation. Ils peuvent ainsi être internes ou externes à l’entreprise. De la même manière, leur exploitation peut dépendre ou non d’un prestataire de services. Ils ne sont par contre pas déterminés par leur taille physique. Ainsi, un Data Centre peut correspondre aussi bien à une salle informatique contenant des dizaines de serveurs qu’à un bâtiment hyper sécurisé qui pourrait compter plusieurs centaines voire dizaine de milliers de mètres carrés d’espaces serveurs. Data Centre : la forteresse numérique du 21ème siècle Si une entreprise décide de confier l’hébergement de tout ou d’une partie de son système d’information à un prestataire, la priorité pour celui-ci est de fournir un haut niveau de qualité de service et toutes les garanties de protection des données. Le but étant de permettre à l’entreprise cliente d’exploiter ses données dans les meilleures conditions. De ce fait, le Data Centre doit correspondre à un environnement IT à la fois performant et sécurisé. D’ailleurs, les critères différenciateurs d’un Data Centre sont le niveau de disponibilité des services critiques ainsi que sa capacité à absorber des pannes potentielles sans interruption de service, ce que l’on désigne par « résilience ». Fin des années 1990, l’Uptime Institute a développé un système, mondialement reconnu, de classification des Data Centres par typologie des infrastructures critiques : de Tier I à Tier IV pour le plus performant. Chaque Data Centre peut obtenir une certification Tier sur la base d’un audit pointu de l’Uptime Institute. Les premières certifications Tier remontent à 2005. Elles permettent aux entreprises de s’assurer d’un niveau de service évalué par un organisme indépendant, sur un référentiel international. Les standards Tier définissent ainsi les niveaux de disponibilité des Data Centres. Le niveau Tier I est le niveau le plus élémentaire, non redondant il n’est pas tolérant aux défaillances ni aux besoins de maintenance à chaud. Le niveau de défaillance, dans ce cas, pourrait par exemple générer plusieurs dizaines d’heures d’indisponibilité annuelle. A l’inverse, le niveau le plus élevé, Tier IV, est hautement tolérant aux défaillances potentielles. Seul le niveau Tier IV dit « tolérant aux pannes » permet, par la redondance de ses équipements, d’approcher le « zéro-défaut » et donc une disponibilité approchant les 100%. Ces niveaux de disponibilité Tier sont basés sur un ensemble de critères couvrant les domaines mécanique, électrique et structurel du site ainsi que les processus d’exploitation, tout comme leur parfaite maîtrise par les équipes en charge de la conduite des opérations au quotidien, que ce soit pour des activités de maintenance ou de réponse à un incident (panne, départ de feu,…). Ceci permet d’aligner la conception de l’infrastructure aux objectifs de l’entreprise qui va en utiliser les services. Confier ses données à un prestataire de services de Data Centre est une décision importante pour laquelle il convient de s’assurer des garanties offertes. Et la certification Tier de l’Uptime Institute répond à ce besoin. Le Data Centre, au cœur de l’écosystème digital européen Comme nous l’avons vu, il existe par défaut un écosystème de gestion de la donnée dépendant de la disponibilité mais également de la sécurité de celle-ci. Consciente des enjeux économiques et géostratégiques du numérique, l’Union Européenne cherche à établir un espace Schengen Numérique en promouvant un espace digital favorable à l’innovation. On parle ainsi de la création d’un espace digital européen unique qui couvre les données dans leur intégralité. Les données à caractère personnel sont aujourd’hui régulées par le « Règlement Général sur la Protection des Données » (RGPD). En complément, une directive européenne est en cours d’élaboration sur les données à caractère non personnel. Le principe est de garantir une libre circulation des données, devenant ainsi la cinquième liberté en Europe après celle des personnes, des biens, des services et des capitaux. Il s’agit d’une réforme majeure au niveau mondial. Avec ce règlement, l’Europe affirme que le numérique est l’industrie du futur. En parallèle, l’UE doit se protéger contre les nouvelles menaces liées au digital, dont les Cyber-attaques. 87% des européens estiment que la Cyber-criminalité constitue un problème considérable pour la sécurité intérieure de l’UE. Ainsi, l’ENISA a pour objectif de conseiller et d’assister la Commission Européenne et les Etats en matière de Cyber-sécurité. L’agence, qui devrait être renforcée et devenir la future Agence de Cyber-sécurité de l’UE, organise depuis plusieurs années des exercices de Cyber-sécurité à l’échelle européenne, aidant les Etats à être mieux équipés et préparés face aux attaques. L’exercice Cyber-Europe de 2016 portait sur la résilience des infrastructures numériques dont les Data Centres, les services cloud et Internet. L’exercice 2018 porte quant à lui sur les risques Cyber dans le secteur aérien. Aujourd’hui, l’objectif est de travailler conjointement avec les gouvernements et les entreprises du secteur numérique. Le Data Centre, dispositif clé de la Cyber-Résilience Le scénario de Cyber-attaque « Cyber Europe 2016 » organisé par l’ENISA, auquel ont participé plus de 300 entreprises et organisations dont EBRC, était révélateur de la complexité mais également de la fragilité de l’écosystème digital européen si les questions de protection et de sécurisation des données ne sont pas pris en compte à leur juste niveau. Il s’agissait d’un scénario très noir inspiré, entre autres, de « blackouts » réalistes et de dépendances à des technologies digitales produites en dehors de l’Union Européenne. Il visait évidemment les Data Centres, les services cloud, les réseaux Internet et prenait en compte des techniques d’attaques Cyber-sécurité récentes comme les « ransomware », des méthodes plus sophistiquées, mais également des attaques physiques. L’objectif était de tester des mécanismes de coopération internationale à l’échelle européenne, tels que prévus dans la nouvelle directive européenne NIS « Network and Information Security » en application depuis mai 2018. Cette directive vise à renforcer la résilience dans le monde digital, dans les secteurs clés de l’économie, les services essentiels (énergie, transports, secteur de la santé, banques et marchés financiers…) ainsi que les fournisseurs de service numérique. Les Data Centres et les services cloud sur lesquels repose l’économie digitale et qui hébergent les données, doivent de ce fait être ou devenir Cyber-résilients. Dans le monde physique, l’être humain fait chaque jour face à des menaces diverses. Durant des millions d’années, au cours de son évolution, l’homme s’est adapté continuellement pour faire face aux menaces et risques de son environnement en enrichissant son système immunitaire, en développant de nouvelles capacités ou en créant de nouveaux outils assurant sa survie. Cette expérience de résilience acquise dans le monde physique se voit confrontée au monde impalpable du virtuel qu’il a lui-même créé. Dans le monde digital qui régit nos sociétés, il est désormais vital de s’assurer de cette résilience. Et cette Cyber-résilience doit se bâtir d’abord – mais pas seulement – sur les Data Centres qui doivent devenir des forteresses numériques, capables de faire face aux menaces du monde digital.... En savoir +Étude Auchan:Direct Opinion Way « La prise de pouvoir d’Internet sur le quotidien des urbains »26 décembre 2017Les attentes des consommateurs Français urbains ont beaucoup évolué et pour cause : internet a tout remis en cause. Les consommateurs veulent globalement consommer de manière responsable et mieux à un moment choisi en payant un prix juste. Ces exigences se sont développées de plus en plus et Auchan:Direct a choisi d’étudier les modes de vie et les habitudes de consommation des consommateurs urbains : il s’agit de la filiale e-commerce d’Auchan en partenariat avec l’institut OpinionWay qui ont cherché des réponses. Ainsi, une infographie a été créée afin de mieux comprendre toutes les nouvelles habitudes de consommation. Des bouleversements sociologiques pour les urbains durant la dernière décennie Internet, un séisme qui a bouleversé le quotidien des urbains Le temps consacré à surfer sur Internet pour s’informer, jouer et se distraire a explosé durant la dernière décennie. 72% des urbains reconnaissent passer plus de temps en ligne qu’il y a 10 ans : aucune activité n’a autant progressé. Ce chiffre grimpe même à 74% chez les hommes. En semaine, après le travail et le sommeil quotidiens, aller sur Internet s’impose – avec la télévision -comme la principale activité des Français. Les urbains y consacrent 2h40 en moyenne. Parallèlement à la hausse du temps passé en ligne, la part des activités contraintes a également progressé. Les consommateurs urbains consacrent davantage de temps à effectuer des tâches ménagères (38% d’entre eux), des trajets quotidiens (pour 34%), ou à travailler au bureau (33%). Les courses du quotidien : un plaisir qui pèse sur l’emploi du temps des Français Durant les 10 dernières années, le temps consacré aux courses alimentaires a augmenté pour 38% des citadins. Actuellement les urbains consacrent 1h07 à cette tâche au quotidien et 1h02 chaque week-end. Associées à l’usage d’Internet, les courses du quotidien font partie des actions qui prennent en étau le temps consacré aux loisirs, aux activités en famille et au repos. Une situation qui conduit 53% des urbains (et notamment 57% des hommes) à vivre les courses comme une corvée. Toutefois une forte minorité d’entre eux, 46% (dont 48% de femmes et 54% des 18-24 ans) les considèrent comme un moment de plaisir permettant de varier les goûts et de tester de nouveaux produits. La digue entre vie professionnelle et vie personnelle a sauté En 10 ans, le travail est sorti de son cadre géographique et temporel habituel. Le domicile est devenu une annexe du bureau : le temps consacré au travail à la maison a augmenté pour plus d’un quart des urbains (26%) et celui dédié au travail au bureau pour 33%d’entre eux ! Désormais, lesu rbains passent en moyenne 1h12 à travailler depuis leur domicile en semaine.Et 1h13 le week-end. Un phénomène particulièrement prégnant chez les hommeset les CSP+ (respectivement 1h27 et 1h28 la semaine ; 1h29 et 1h34 le week-end).A la maison, tous les moments semblent propices au travail : le soir en semaine après le travail (24% le font systématiquement ou souvent), le matin avant de se rendre au bureau (13% systématiquement ou souvent), le samedi (21% systématiquement ou souvent) et le dimanche (17% systématiquement ou souvent). Un consommateur urbain sensible au prix, à la qualité et à l’éthique Avec une hausse respective pour 50%,43% et 40% des urbains, les produits en promotion, les produits bio et les produits Made in France sont les aliments dont la consommation a le plus augmenté durant la dernière décennie. Une preuve de la prise de conscience, par le consommateur urbain, des enjeux éthiques, environnementaux et de santé, liés à la consommation. Cette sensibilité est plus affirmée chez les CSP+ et les habitants du Grand Paris, contrairement aux CSP- (59%), aux femmes (55%) et aux habitants de Lille et sa métropole (56%) davantage attentifs au prix. A l’origine de nouvelles pratiques en matière de courses alimentaires La qualité des produits : la nouvelle boussole des consommateurs urbains La prise de conscience, par les consommateurs urbains, des enjeux éthiques, environnementaux et de santé, liés à la consommation s’est donc accrue. Quelles en sont les conséquences ? Premièrement, la composition des produits alimentaires s’est imposée comme le principal critère d’achat des urbains, devant le prix. Concrètement, 50% d’entre eux donnent la priorité à la composition du produit ; 49% au prix ; 47% au lieu d’achat et 38% à l’origine exacte des produits alimentaires. Si ce quatuor est identique dans les quatre principales métropoles françaises, sa hiérarchie quant à elle, évolue. Par exemple, dans le Grand Paris, les consommateurs donnent la primauté à la composition du produit (54%). A Lille-Métropole (51%) et à Aix-Marseille-Provence (55%) c’est le prix qui domine, tandis que dans la métropole lyonnaise, le lieu d’achat l’emporte (52%). Deuxièmement, pour consommer cette grande diversité de produits (frais, bio, made in France, etc), les urbains n’hésitent pas à varier les commerces. Suivant les besoins, ils jonglent allègrement entre les commerçants de proximité (le boulanger est le premier d’entre eux, avec une moyenne de 12 visites par mois) et les grandes surfaces (une moyenne de 6 visites par mois). Troisièmement, l’écrasante majorité des urbains cuisine des produits frais. Précisément, 83% des consommateurs urbains préparent leurs repas (51% cuisinent des produitsf rais et 32% des produits simples) et seuls 6% consomment des plats préparés ou surgelés (un chiffre qui grimpe à 10% chez les hommes et les habitants du Grand Paris). Mais ce n’est pas tout ! Y compris en semaine, les urbains ont le souci de la qualité de leur repas, en l’occurrence, de leur déjeuner. C’est pourquoi, ces derniers mangent en moyenne 2 fois par semaine à leur domicile et1 fois par semaine sur leur lieu de travail en consommant un repas qu’ils ont préparé. Pris par le temps et intraitables sur la qualité des produits alimentaires, les urbains sont séduits par la livraison de produits frais. La rupture de la digue séparant vie privée et vie professionnelle associée à l’augmentation du temps consacré chaque semaine aux activités contraintes et à Internet a densifié l’emploi du temps des habitants des grandes métropoles. A tel point que ces derniers vivent désormais les courses du quotidien comme une corvée. Toutefois, attachés à la consommation de produits de qualité, les consommateurs urbains seraient séduits par la possibilité de se faire livrer à domicile des produits frais qu’ils achètent habituellement auprès de leurs commerçants de référence. En somme, le compromis idéal pour profiter du meilleur des commerces (des produits frais et variés) sans les inconvénients (les déplacements répétitifs). Dans le détail, 41% des répondants aimeraient se faire livrer à leur domicile (tous les jours) du pain et des viennoiseries et 36% des légumes et des fruits. Un souhait exprimé avec force par les 18-24 ans (respectivement 58% et 47%). Les boissons, la viande, le poisson et les produits de crémerie arrivent ensuite, cités par 16% à 18% des urbains. « En quelques années, le profil des consommateurs urbains a été totalement bouleversé. L’évolution des rythmes de travail a provoqué une diversification des modes de vie urbains ; la généralisation de l’internet mobile a généré une quête d’instantanéité systématique ; et la prise de conscience des problématiques environnementales et de santé a donné lieu à une plus grande exigence de la part des consommateurs », analyse AlexandreMulliez, CMO Auchan Direct. « Les urbains cherchent à simplifier et réenchanter leurs courses du quotidien. Nous travaillons à les adapter à leur nouvelle réalité et répondre ainsi à leurs exigences d’instantanéité, de qualité et de confort »,souligne Pierre-Olivier Calande, CXO Auchan Direct. Découvrir toutes les nouvelles actualités dans la catégorie dédiée à internet.... En savoir +Smartfix30 bouleverse l’assistance aux usages numériques : plateforme d’aide aux technologies22 août 2017Les technologies prennent une place de plus en importante dans la vie professionnelle et pour mieux les utiliser, rien ne vaut une plateforme d’assistance comme Smartfix30. Il s’agit de la première plateforme digitale pour assister et aider à utiliser ces nouvelles technologies. L’offre complète de services présents sur la plateforme regroupe du dépannage, une assistance à l’utilisation, l’installation, la formation, etc. Soutenue par le groupe Solutions 30, la plateforme se présente comme le leader européen qui offre des solutions pour les nouvelles technologies. Les interventions se font avec les équipes du site à domicile, au bureau ou par téléphone. La 1ère plateforme d’assistance à l’utilisation du numérique Ordinateurs, smartphones, tablettes, objets connectés… internet et le numérique sont aujourd’hui ancrés au cœur du quotidien des particuliers comme des entreprises et y occupent une place toujours plus importante. Pour autant, il n’existait pas encore de plateforme d’intermédiation permettant aux particuliers d’accéder rapidement et simplement à l’expertise de professionnels en cas de panne, besoin de formation ou d’assistance au numérique. C’est sur la base de ce constat qu’est né Smartfix30. « Grâce à notre application, les particuliers et les TPE-PME confrontés à des problèmes d’utilisation des technologies numériques, ont accès à des professionnels expérimentés, qui interviennent en un temps record par téléphone, à domicile ou au bureau. Le potentiel du marché est colossal car les besoins sont massifs et progressent au rythme du déploiement du numérique ! » commente Mehdi Abdelmouttalib, cofondateur de Smartfix 30. Leader dès son lancement Depuis sa création, Smartfix30 est accompagnée par le groupe Solutions 30, dont les experts ont été les premiers à rejoindre la plateforme. Dès son lancement, Smartfix30 fédère ainsi une communauté de 900 experts qui déploient une offre inédite alliant tarifs les plus bas du marché et niveau de service le plus élevé ! L’identification de la panne, la résolution du problème et la réparation du matériel sont gérées selon des process éprouvés, garants d’une forte réactivité et véritable gage de confiance pour les utilisateurs. La plateforme est ouverte à tous les professionnels du secteur qui peuvent bénéficier de son volume d’affaires. Après validation et accréditation par Smartfix30, ils intègrent la communauté des smartfixers et interviennent selon des process clairs et des engagements qualité précis. « En réunissant les professionnels du numérique sur une même plateforme, Smartfix30 entend créer un véritable référentiel de service et de prix pour les particuliers et les TPE-PME qui pourront enfin bénéficier de prestations de qualité ! », ajoute Mehdi Abdelmouttalib. Smartfix30 est accessible en direct à tous les particuliers et les TPE-PME. Elle est également disponible en marque blanche auprès de grands acteurs du numérique susceptibles d’intervenir chez les particuliers et désireux d’offrir à leurs clients un service de qualité, différenciant, innovant et en phase avec leurs attentes. A propos de Smartfix 30 La plateforme digitale Smartfix30 fédère une communauté de 900 Smartfixers prêts à intervenir partout en France, pour rendre facilement accessibles à tous, particuliers et entreprises, les nouvelles technologies numériques. Avec un support téléphonique disponible immédiatement et une intervention à domicile ou au bureau en moins de 24h, Smartfix30 est la solution rapide à tous les problèmes numériques. La société intervient sur tout appareil numérique : ordinateurs, PC portables, iMac, Mac Book, smartphones, tablettes, smart TV, objets connectés…).... En savoir +Synomia lance Tile, la première plateforme SaaS d’Intelligence Étendue (IE)5 juillet 2017Une toute nouvelle plateforme Saas d’intelligence Étendue vient d’entrer sur le marché ! En effet, le groupe Synomia annonce le lancement de Title. Cette plateforme est déjà déployée auprès de 200 clients. Tile a pour mission de s’adresser à toutes les fonctions de l’entreprise. Elle se dirige en particulier vers les brain-workers, c’est-à-dire à celles et ceux qui ont la charge d’identifier et de conquérir de nouveaux horizons de performance pour leurs propres comptes, ou pour celui de leurs clients. Les Data Providers et l’Intelligence Artificielle sont les deux acteurs clefs de la plateforme en ligne Title. Vous permettre de détecter et exploiter les opportunités qui naissent dans un environnement économique « liquide » : voici en résumé, la vocation de Tile. Créée par Synomia, Tile repose sur une technologie exclusive co-brevetée avec le CNRS et déjà déployée auprès de 200 clients et partenaires. Identifier les espaces momentanément vacants par un benchmark concurrentiel, construire une stratégie éditoriale performante, comprendre les parcours clients et en améliorer l’expérience, monitorer les attentes ou les usages émergents de ses publics (consommateurs, talents, influenceurs, actionnaires), identifier les failles d’UX pour s’y engouffrer, factualiser des intuitions stratégiques : voici quelques-unes des possibilités offertes par Tile, la première plateforme d’intelligence étendue. Dans un contexte où toutes les fonctions contribuent à la performance, Tile s’adresse à toutes les fonctions de l’entreprise et en particulier aux brain-workers, c’est-à-dire à celles et ceux qui ont la charge d’identifier et de conquérir de nouveaux horizons de performance pour leurs propres comptes, ou pour celui de leurs clients. L’intelligence étendue pour un Brain-worker L’Intelligence Étendue doit remplir deux enjeux du quotidien des brain-workers qui peuvent paraitre opposés, mais sont en fait intimement liés : simplifier les process et améliorer leur efficacité. D’un côté, l’IE permet de simplifier au maximum les workflows. Pour les prestataires de conseil, cela passe par l’automatisation des tâches à faible valeur ajoutée, le fait de libérer du temps pour leur cœur de métier : le consulting et le business. Pour les marques, cela signifie permettre aux équipes d’utiliser un environnement de prise de décision unifié entre elles et leurs prestataires, ou encore pouvoir utiliser une plateforme unique pour analyser toutes les sources de données. L’intelligence étendue, comment ça marche ? Deux aspects sont clés dans le fonctionnement de la plateforme Tile d’Intelligence Étendue : les Data Providers et l’Intelligence Artificielle. Tile s’appuie sur les nombreux Data Providers qui agrègent et collectent au quotidien des milliards de data extrêmement diverses. Parmi eux, on compte en particulier tous les outils de social listening, ou encore des sites d’avis consommateurs, dont Tile permet de valoriser les données et d’en tirer du sens. Grâce à ces partenaires, Tile est capable d’analyser près d’une cinquantaine de sources de data, comprenant bien entendu l’ensemble des données sociales, mais aussi des logs de chats, données CRM, CVs, réclamations clients, pdf, avis consommateurs, et bien plus ! Toutes ces données sont ensuite traitées par des algorithmes d’Intelligence Artificielle, développés depuis plusieurs années par les équipes du Chief Data Scientist de Synomia, Didier Bourigault, qui est issu du CNRS . Le tour de force de Tile réside dans sa capacité à transformer par sa technologie des millions de données complexes et non structurées en datavisualisations dynamiques, accessibles et compréhensibles par toutes les équipes d’une organisation, et ce de façon totalement agile, sans intégration.... En savoir +Sage Live : un premier bilan positif chez les partenaires à découvrir en ligne27 juin 2017La dernière solution « Sage Live » est disponible depuis janvier en France : il s’agit d’un lancement 100% Cloud par le leader du marché et de la technologie pour les solutions intégrées de comptabilité, de paie et de gestion commerciale. Après le lancement mondial, cet outil bénéficie d’un accueil positif chez les partenaires. Cette nouvelle solution offre des opportunités business en étant à l’écoute du marché et des évolutions des besoins des clients et des prospects. Le cloud, un marché porteur Sage Live apporte une réponse aux nouveaux besoins de gestion des entrepreneurs Les résultats de la dernière étude menée par IDC (1) sur le sujet du cloud montrent que, d’ici 2 ans, plus de la moitié des entreprises vont délivrer la majorité de leur besoin IT grâce aux services Cloud. Néanmoins, nous savons que des freins à l’adoption persistent et concernent les besoins d’intégrité de données et de mobilité ainsi que la qualité de la couverture fonctionnelle des logiciels dans le Cloud comparé aux logiciels installés. Sage Live, solution mondiale de comptabilité et de gestion commerciale 100% cloud et mobile destinée aux PME de 10 à 200 employés, a été développée sur la plate-forme Salesforce App Cloud d’une part et est également co-développée par les équipes R&D de Sage France permettant ainsi de respecter totalement les caractéristiques règlementaires et légales de la France, comme les nouvelles recommandations en matière de lutte contre la fraude à la TVA. Cette solution réunit ainsi le meilleur du Cloud et une couverture fonctionnelle du même niveau que les logiciels historiques. Sage Live répond aux besoins croissants en termes de mobilité, de sécurité, d’intégrité des données mais aussi en solutions de comptabilité et de gestion commerciale, modernes, collaboratives et rapides. Pour les internautes souhaitant également utiliser le web pour trouver des informations utiles, le site trouver-un-restaurant.fr référence des restaurants en ligne. Sage Live : un levier de croissance clé pour les partenaires Sage rappelle le rôle clé de son réseau de partenaires dans sa stratégie de développement. Aujourd’hui en phase d’accélération sur le cloud, Sage compte sur son réseau afin d’accompagner les entrepreneurs dans leur transformation digitale et leur apporter la qualité de service, de formation et d’assistance nécessaires. Sage propose ainsi aux partenaires d’intégrer totalement Sage Live dans leurs business model en ajoutant des services rémunérateurs. Entièrement personnalisable, Sage Live offre aux partenaires intégrateurs et aux partenaires éditeurs la possibilité de développer de nouvelles fonctionnalités spécifiques et complémentaires répondant aux attentes des entrepreneurs. En effet, élément majeur du Sage Partner Program, la Sage Marketplace est une plateforme offrant aux éditeurs métiers la possibilité de présenter leurs add-ons et autres solutions connexes développées autour des solutions Sage, et d’être directement contactés par les entreprises, ou par d’autres partenaires cherchant une complémentarité. L’engouement des partenaires s’accélère. Sage Live est aujourd’hui distribué par une trentaine de partenaires certifiés ou en cours de certification : Les partenaires de l’offre de référence Sage 100c qui ont fait le choix de faire évoluer leur portefeuille produit afin de répondre aux nouveaux besoins des clients et des prospects. « En tant qu’intégrateur historique de Sage, nous attendons de nouveaux produits avec des bénéfices clients immédiats. Sage Live est une solution mondiale de comptabilité 100% cloud et mobile dont le principal avantage est d’être développée sur la plate-forme Salesforce App Cloud. Nous avons décidé d’être certifiés sur le meilleur du Cloud. De plus, la Sage Marketplace, nous permettra de mettre à disposition de nos clients des applications métiers développées par nos équipes, venant enrichir l’offre Sage Live » comme en témoigne Dany Jouhanneau, Président, Danphil Conseils Les partenaires Salesforce, qui eux aussi, ont choisi de vendre Sage Live afin de compléter leur stratégie de croissance et de couverture fonctionnelle. « Nous encourageons les partenaires à capitaliser sur les offres existantes et à investir dans les nouvelles solutions autour du cloud comme Sage Live. Cette solution de dernière génération, qui vient enrichir notre offre cloud, représente un fort levier de développement et de croissance pour les partenaires. Nous sommes ravis de la dynamique et de l’enthousiasme de nos partenaires à son égard. » commente Serge Masliah, Directeur Général Sage Europe du Sud. Dans le même domaine, Conseil Expertise propose à ses lecteurs de découvrir la nouvelle collaboration entre Carrefour et Couchbase.... En savoir +Carrefour collabore avec Couchbase : tout savoir sur la collaboration en ligne20 juin 2017C’est un fait, le groupe Carrefour est connu mondialement. Celui-ci décide de se lancer dans la création d’une toute nouvelle application de couponing : « Carrefour & moi« . Pour ne pas commettre d’erreur et être accompagné du début à la fin de la réalisation, Carrefour a fait appel à l’entreprise Couchbase, spécialiste dans le domaine du digital. Celle-ci intervient dans les demandes des entreprises lorsqu’elles cherchent à évoluer technologiquement parlant. L’application est aujourd’hui utilisée quotidiennement par 11 millions de Français. Celle-ci se révèle pratique auprès des utilisateurs puisqu’elle optimise la gestion des coupons de réductions en cas de fort trafic. Une solution qui arrange tout le monde ! Le Groupe Carrefour, deuxième distributeur mondial et premier en Europe, a fait appel à Couchbase, éditeur de logiciel spécialisé dans la technologie de base de données, en Décembre 2016 pour l’optimisation de son application de couponing « Carrefour & moi ». La situation de Carrefour Le Groupe Carrefour, résolument engagé dans une stratégie digitale, propose depuis peu l’application « Carrefour & moi » à ses 11 millions de clients français. Elle est aujourd’hui utilisée quotidiennement par plusieurs millions de consommateurs ; son trafic journalier se compte en centaine de milliers de visites uniques. Face à l’augmentation exponentielle du trafic, le Groupe Carrefour a souhaité optimiser sa solution de gestion des coupons de réductions, qui ne disposait pas de la capacité d’ouverture et de passage à l’échelle nécessaire à la prise en charge des affluences. Après avoir analysé les besoins métiers, M. Daniel Pays, CTO du Groupe Carrefour, a réalisé une étude de marché afin de trouver la solution logicielle qui répondrait en tous points à son cahier des charges et ce dans le cadre de la transformation de son SI. Pour ce faire, le Groupe Carrefour a fait appel à Couchbase et notamment à sa plate-forme d’engagement de données qui repose sur une solution NoSQL unique et globale (cache distribué, base clé-valeur et base document) capable de collecter des données issues de tous types de sources et de délivrer ces données opérationnelles et personnalisées en temps réel. Le dispositif déployé par Couchbase au sein du Groupe Carrefour va désormais permettre aux clients de l’enseigne d’accéder et d’utiliser leurs coupons de réductions depuis l’application « Carrefour & moi ». La technologie Couchbase permet de disposer d’un hub de stockage et de distribution des coupons alimentant les applications mobiles et le portail carrefour.fr. La mise en œuvre de la solution Couchbase s’est déroulée sur quatre mois. Les 5300 magasins français du groupe bénéficient désormais de ce nouveau dispositif digital. « Notre choix s’est porté sur Couchbase pour sa performance, son caching, sa capacité de stockage évolutive et son élasticité. La solution Couchbase a été facile à implémenter, à configurer et à exploiter. Nous sommes très satisfaits de cette première expérience » déclare Daniel Pays, CTO du groupe Carrefour. « Nous sommes ravis d’avoir été choisis par le Groupe Carrefour pour le déploiement de notre solution Couchbase. Ce projet d’envergure réalisé avec succès conforte notre expertise sur le marché de la base de données. » se félicite Vincent Gonnot, Directeur Europe du Sud de Couchbase. A propos de Couchbase Couchbase propose des technologies de bases de données NoSQL à des entreprises axées sur l’innovation numérique. Dans le monde entier, des organisations choisissent Couchbase pour la flexibilité de son modèle de données, la facilité de son redimensionnement, ses performances et sa haute disponibilité pour construire des applications web, mobiles, et IoT d’entreprise. La plate-forme Couchbase inclut Couchbase Server, Couchbase Lite, première base de données NoSQL mobile, et Couchbase Sync Gateway. Couchbase est conçu pour réaliser des déploiements mondiaux, avec réplication configurable entre datacenters afin de renforcer la proximité géographique et la disponibilité des données. Tous les produits Couchbase sont des projets open source. Couchbase compte parmi ses clients des leaders de l’industrie tels qu’AOL, Amadeus, AT&T, Cisco, Comcast, Concur, Disney, eBay, General Electric, Marriott, Nordstorm, Neiman Marcus, PayPal, Ryanair, Rakuten/Viber, Tesco, Verizon, Wells Fargo, ainsi que des centaines d’autres noms connus.... En savoir +Internet au service de la visibilité des restaurants : Le support Trouver un restaurant25 août 2016Pour augmenter sa visibilité, il est important de prendre conscience que le web joue un rôle majeur. Être présent sur internet peut se faire de différentes façons : être référencé sur un site, sur les réseaux sociaux, avoir son propre site internet … Le site trouver-un-restaurant.fr recense de nombreux restaurants en Essonne et dans le Val de Marne. Ils sont classés par ville et par typologie du restaurant. Cette plateforme a été mise en place par Cap Visibilité, une agence de communication située en Essonne. Les restaurants présents sur ce site bénéficient d’une visibilité locale sur les moteurs de recherche. Une page est créée pour chaque restaurant. On y retrouve des informations précieuses comme l’adresse, sa spécialité et l’adresse de son site web. Cap Visibilité propose deux offres pour les restaurants en Essonne et Val de Marne : La création d’une page dédiée sur le site trouver-un-restaurant.fr. Elle permet d’être visible, d’être référencé et noté par les internautes. Offre à 250 euros HT La création d’un site web basique selon une charte graphique et un nombre de page défini. Le restaurant ayant recours à cette offre verra son site se positionner sur Google sans passer par un intermédiaire. Offre à partir de 1250 euros HT. La création d’un site web personnalisé avec une charte graphique et une présentation propre au restaurant. Le site sera notamment optimisé pour le référencement. Offre à partir de 2900 euros. Ce support est un véritable atout pour les restaurants de la région car en plus d’être visible sur le site, un partage sur la page Facebook sera fait pour gagner en visibilité. Plus de renseignements sur les offres pour les restaurateurs sur la page dédiée du site : http://www.trouver-un-restaurant.fr/nos-offres/... En savoir +Les étapes de la création d’une page web : tout savoir sur les astuces25 août 2016La création d’une page web doit suivre certaines règles de bases, pour sa compréhension, son ergonomie et sa visibilité (référencement). Pour que la page soit attrayante autant pour l’internaute que pour les moteurs de recherche, il est primordial de travailler trois partie : le fond du contenu (les mots, la sémantique …), la forme (aérer le contenu, visuel …) et son optimisation pour le SEO (Title, H1, Meta-description …). Si ces éléments sont respectés, il sera alors possible d’être visible sur les moteurs de recherche. Pour en savoir plus, rendez vous sur : http://www.cap-visibilite.fr/bien-construire-sa-page-web-les-bases/... En savoir +Référencement local : Comment ça marche et quelles sont les bonnes pratiques ?24 août 2016Dans l’optique d’améliorer la visibilité des personnes tenant un site internet (vitrine ou e-commerce), Google publie des recommandations essentielles. La firme Montain View a récemment mis à jour les consignes du moteur de recherche dédiées aux Webmasters. La dernière en date concernait le référencement local, un point essentiel pour être bien positionné sur des requêtes locales. Afin de valider votre établissement sur Google, il faut d’abord l’inscrire sur Google Business. La validation de la demande passera par l’envoi d’un courrier de la part de Google. Cela évite désormais certains abus réalisés par le passé. La validation de cette fiche permet également la génération du Knowledge Graph Google situé à droite dans les résultats Google. En voici un aperçu : 1er critère : la pertinence : Plus les fiches locales d’un établissement sont renseignées avec précision (heures d’ouverture, prestations et produits proposés, zone de chalandise…) plus l’établissement aura de chance d’être bien positionné. Selon Google, ces informations sont importantes pour les robots de manière à vérifier que l’établissement proposé correspond bien à la requête de l’internaute. Découvrez la suite de l’article sur Journal Digital : http://www.journal-digital.fr/referencement-local-comment-ca-marche/... En savoir +